Pour développer un diabète de type 2, il faut une fragilité familiale (l’hérédité) et des kilos en trop. Notre société de l’abondance alimentaire, de la facilité et du stress est obésogène.
D’autre facteurs entrent en ligne de compte comme les additifs, les pesticides et autres perturbateurs endocriniens.
Mais la culture joue aussi car le rapport à l’alimentation et à la corpulence peut favoriser la surcharge pondérale dans certaines communautés.